La Vallée d’Aoste ne participe pas au Fonds Sanitaire National ayant choisi, à partir de 1995, de soutenir avec les ressources de son budget de pourvoir avec ses propres ressourses au financement du système sanitaire régional, pourquoi-pas donc ne pas se doter d’un propre contrat de travail qui puisse rendre la santé régionale plus efficace, avec plus de services, avec plus de contrôles sur la qualité des services distribués. En respondant davantage aux bésoin d’une population alpine qui par sa géolocalisation territoriale et sa vocation touristique, a des exigences particulières et qui nécessite de plusieurs structures territoriales capillaires d’assistance socio sanitaire.
Pour réussir et mettre en œuvre le Plan, il serait essentiel de réfléchir sans préjugés à la régionalisation du contrat de travail afin:
– D’harmoniser les rapports entre toutes les entités impliquées dans la gestion du bien-être social et de la santé de notre région.
– De pouvoir créer pour tout le personnel les conditions d’attractivité, non seulement économiques, mais aussi logistiques, comme le soutien dans la recherche des hébergements .
– Un chapitre fondamental pour l’avenir de la santé valdôtaine est de prévoir dans les travaux pour l’hôpital un projet visant à permettre et élargir la possibilité d’interventions en LPI , même avec des conventions avec des compagnies d’assurance, afin d’attirer des professionnels qualifiés et, par conséquent faire connaître notre Vallée les familles des patients
Pour créer un système articulé d’offre de services destinés aux citoyens les plus faibles et en situation de fragilité, augmenter l’offre sanitaire régionale et coordonner avec une régie commune tout le système socio-sanitaire régional.
L’article deux de notre Statut souligne que la Région a le pouvoir législatif en matière de réglementation des bureaux et des organismes qui dépendent de la Région et sur la position juridique et économique du personnel. Voici donc qu’ inévitablement pour la Vallée d’Aoste pourrait être possible considerer la nécessité de sortir du contrat collectif national de l’emploi et proposer un contrat régional capable nécessairement de répondre plus efficacement aux nouvelles exigence générale de notre santé publique.
Umberto Nigra
il CCCNL all’ Art. 89 prevede il Welfare integrativo (Bien être), come di seguito esplicato
1. Le Aziende ed Enti disciplinano, in sede di contrattazione integrativa di cui all’art. 9 comma 5 (Contrattazione collettiva integrativa: soggetti e materie), la concessione di benefici di natura assistenziale e sociale in favore dei propri dipendenti, tra i quali:
a. iniziative di sostegno al reddito della famiglia (sussidi e rimborsi);
b. supporto all’istruzione e promozione del merito dei figli;
c. contributi a favore di attività culturali, ricreative e con finalità sociale;
d. prestiti a favore di dipendenti in difficoltà ad accedere ai canali ordinari del credito bancario o che si trovino nella necessità di affrontare spese non differibili;
e. polizze sanitarie integrative delle prestazioni erogate dal servizio sanitario nazionale anche a copertura di particolari eventi avversi (es. ictus, infarto, ecc.) aggiuntivi a quanto già indicato dall’art. 86 (Coperture assicurative per la responsabilità civile);
f. contribuzione delle spese per l’attivazione di convenzioni per asili nido ove non presenti in azienda.
2. Gli oneri per la concessione dei benefici di cui al comma 1 sono sostenuti mediante utilizzo di quota parte del Fondo di cui all’art. 103 (Fondo premialità e condizioni di lavoro).
3. Il presente articolo disapplica e sostituisce l’art. 94 del CCNL del 21.5.2018
Il SAVT Santé ha da tempo esplicitato, in particolare con interventi di Ilaria Fapperdue, la necessità ed urgenza di aprire un tavolo con ASL e Regione per giungere alla predisposizione di un progetto organico di applicazione del BIEN-ÊTRE fondamentale per garantire condizioni di lavoro ottimali per il personale.